Politiquement, Ousmane Gaoual sait qu’il est mort, décrédibilisé et sali par sa contribution à la normalisation de la dictature militaire du CNRD. Laquais d’un pouvoir sanguinaire, réduit aux sales besognes , travaillé par la haine et le ressentiment, ce subalterne de la dictature militaire est dédié à une seule tâche : nuire à CDD.
Le pouvoir a révélé ce qu’est le bad boy de Gaoual : esclave des passions haineuses. Un rancunier en mal de projet politique. En tant que porte parole de la dictature, on aimerait l’entendre sur les circonstances de la mort tragique du général Sadiba Koulibaly.
Hélas ! Le pouvoir a aussi pour effet de déshumaniser celui qui l’exerce, pour le subalterne Gaoual , tout les coups sont permis , quitte à rire et à normaliser le meurtre.
Souleymane Souza KONATÉ, Président de la Commission Communication de l’ANAD et Conseiller Chargé de Communication du Président de l’UFDG.